Lyrics

Plus jamais je n'angrasse une de mes matinées au chevet de notre palace, lacé de te voir toujours peigner ta glace! pour qu'elle te ressemble avec quelques années de moins et sans cette chute de rein ballante que tu déguises adolescente, pendant que je passe mes jours a aller voir ailleurs si j'y suis sur ton corps usé sont de passages de porte-manteaux de catalogues que ton argent prends en otage et qui tendent leurs mains et tous leurs muscles vers ta succession que je dilapide a mesure que sur la liste, s'ajoutent les noms refrain: et je joues, L'argent de ma femme et son héritage, je joues, si je gagne je gagne si je perds on partage je joues, L'argent de ma femme occupée à mettre toutes les chances de mon coté! j'entends jusque dans le couloir du casino la course de tes étalons, qui aimeraient me faire un enfant dans le dos! et inscrirent à jamais leur noms sur l'édifice pour lequel, beau papa m'a commis d'office contre tes deux mains tes défauts et toi, il vaut toujours mieux perdre quelqu'un de riche que, quelqu'un de cher, ils l'ont compris ils s'en fichent de tes petites affaires! il vaut toujours mieux perdre quelqu'un de riche que, quelqu'un de cher regarde comme elle brille la pupille, à l'aube... il vaut toujours mieux perdre quelqu'un de riche que, quelqu'un de cher il vaut toujours mieux perdre quelqu'un de riche que, quelqu'un de cher regarde comme elle brille la pupille à l'aube et clair
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